Comme
le tome 3 est sorti récemment, je me suis empressée de faire la chronique des deux
premiers tomes.
Hannah,
une jeune parisienne prête à aller à la fac, part en vacances avec ses parents
en Ecosse au village de Wick. Si elle est contente de retrouver sa grand-mère,
elle ne se réjouit guère de se retrouver coincée dans ce trou perdu. Pourtant,
il va s'y passer des choses intéressantes, elle va faire des rencontres,
inoubliables pour certaines, et lorsqu'elle apprendra qu'elle devra prolonger
considérablement son séjour, c'est à peine si elle protestera.
À
peine arrivée, elle fera la connaissance de plusieurs garçons, dont Leith,
magnifique brun aux yeux d'un vert incroyable. Ce dernier est attentionné
envers elle et très protecteur. Cependant, comme on s'en doute, il n'est pas
tout à fait humain. Le lecteur comprendra beaucoup plus vite que notre héroïne
ce qu'il est, grâce à des indices. Si notre Hannah est longue à la détente, ce
n'est pas par manque d'intelligence ou de perspicacité, mais parce que c'est
une personne très rationnelle, qui ne croit pas au surnaturel. Aussi, la
sympathique Gwen avec qui elle se lie rapidement d'amitié aura du mal à la
convaincre. Pourtant, elles s'entendent bien!
Lorsqu'elle
découvrira la vérité, pourtant, elle le prendra d'une manière très posée, car
elle ne peut de toute façon pas renoncer à Leith. Cette réaction la rapproche beaucoup
de Bella dans Fascination mais rassurez-vous, cette saga s'en distingue bien à
part sur certains aspects. Aussi, une fois ses réticences à voir la réalité
envolées, Hannah se révèle sous un meilleur jour, ouverte d'esprit, tolérante
et prête à aider les autres. Cette facette d'elle est sublimée dans le tome 2,
lorsqu'elle rencontre le beau Darius ainsi qu'un groupe d'étudiants pas tout à
fait ordinaires, eux non plus.
Pour
ma part, j'ai été un peu déçue par le premier tome. J'ai eu un peu de mal à
accrocher et je trouvais Hannah un peu agaçante. En effet, au début, elle prétend ne pas du tout s'intéresser aux
garçons et le premier message qu'elle envoie à sa meilleure amie à son arrivée
en Ecosse est pour dire qu'elle a vu deux beaux gosses! Hi hi. D'ailleurs, j'ai
trouvé que ses échanges par mails avec sa meilleure amie apportaient un petit
plus au roman. Bon, elle évolue ensuite et devient une héroïne très
sympathique.
Le
tome deux, en revanche, est bien meilleur. J'ai tout de suite accroché et les
nouveaux personnages, l'intrigue donnent une nouvelle dynamique au roman. Par
contre, la fin est déchirante. Pour ma part, j'y étais préparée car j'avais lu
le résumé du tome 3, qui, s'il ne contient pas de spoilers, aide à deviner la
fin, donc c'était supportable mais sinon, j'aurais sûrement fondu en larmes.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Darius qui, à mon plus grand plaisir, sera
sans doute très présent par la suite. À savoir que cette saga comptera quatre
tomes. Là, j'attends l'annonce de la lecture commune sur la Bulle pour attaquer le troisième!
Tome 1: Vertige
Hannah, bientôt dix-huit ans, était loin d'imaginer que sa vie prendrait un tel tournant. Ses vacances tant redoutées à Wick vont se transformer en véritable conte de fées, puis en cauchemar... Tout va changer, brutalement. Elle devra affronter l'inimaginable, car les légendes ne sont pas toujours ce qu'on croit. Leith, ce beau brun ténébreux, mystérieux, ne s'attendait pas non plus à Hannah. Il tombe de haut, l'esprit a choisi : c'est elle, son âme soeur. Pourra-t-il lui cacher ses sentiments encore longtemps ? Osera-t-il lui avouer qu il n est pas tout à fait humain ? Il le devra, elle est en danger et il lui a juré de la protéger, toujours...
Pour moi, une nouvelle vie commençait : l’université à St Andrews avec Leith, mon petit ami loup-garou. J’avais espéré que le calme était revenu, que je vivrais ma première année de fac comme n’importe quelle jeune fille, ou presque. Douce utopie, rien ne se passe jamais comme on le voudrait.
Il fallait qu’ils se fassent la guerre, c’était plus fort qu’eux. Leur haine ancestrale allait les pousser à bout. J’étais dépassée.
Je n’en avais aucune idée alors, mais les forces qui devraient s’affronter allaient au-delà de tout ce qu’on peut imaginer.
J’étais au moins sûre d’une chose : tôt ou tard, je paierais les pots cassés. Peut-être même que je ne m’en sortirais pas indemne.
Il fallait qu’ils se fassent la guerre, c’était plus fort qu’eux. Leur haine ancestrale allait les pousser à bout. J’étais dépassée.
Je n’en avais aucune idée alors, mais les forces qui devraient s’affronter allaient au-delà de tout ce qu’on peut imaginer.
J’étais au moins sûre d’une chose : tôt ou tard, je paierais les pots cassés. Peut-être même que je ne m’en sortirais pas indemne.
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